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Qu’est-ce que la gestion de patrimoine ?

Il est utile de faire la distinction entre le patrimoine brut désignant la valeur marchande de toutes les possessions d’une personne, y compris ses dettes et engagements financiers comme les emprunts légaux et le patrimoine net qui sera pris en considération par le cabinet pour réaliser la gestion du patrimoine. Le patrimoine net est calculé en soustrayant toutes les dettes du patrimoine brut.

La gestion de patrimoine est une méthode permettant de réaliser une estimation de la valeur financière et fiscale de l’ensemble des biens d’une personne physique ou morale faisant l’objet de prélèvements fiscaux et impôts divers. Cette évaluation prend en compte tous les biens mobiliers et immobiliers (constructions, véhicules divers, bijoux, etc.) ainsi que ceux inclus dans la catégorie dite de propriété intellectuelle. Seront également considérés tous les revenus financiers réguliers notamment les intérêts, les dividendes ainsi que les plus-values de cession et les loyers puisqu’ils sont inclus dans l’assiette fiscale.

Le cabinet de gestion de patrimoine a pour rôle d’étudier le profil fiscal et les biens de ses clients et de réaliser une simulation réelle de la stratégie la plus adaptée à leur situation en vue d’atteindre des objectifs et des projets à plus ou moins long terme. Après avoir analysé la situation financière d’un client, il se chargera d’effectuer des achats ou des placements pour le compte de ce dernier afin d’optimiser son dispositif de défiscalisation. La Maison Perennity, cabinet de gestion de patrimoine en Ile-de-France vous propose des dispositifs de défiscalisation dans le respect d’un cadre légal aujourd’hui très réglementé.

Le cabinet de gestion de patrimoine joue également le rôle de conseiller pour son client dans l’achat de biens immobiliers qui s’inscrit dans une stratégie adaptée aux attentes et aux portes-feuilles de ses clients.

Un conseiller en gestion de patrimoine indépendant traite également des ventes en état futur d’achèvement (VEFA), les opérations en SCI, la mise en place du montage financier choisi par le client, le type d’emprunt. Il évalue également le montant de l’apport personnel et la mise en place des avants contrats. Il est essentiel dans le cadre d’une défiscalisation d’être bien averti sur les assurances liées au bien. En effet, lorsqu’il s’agit d’un logement neuf, différentes assurances doivent être souscrites et le cabinet de gestion de patrimoine fait en sorte que toutes soient intéressantes.

Enfin le cabinet de gestion de patrimoine en immobilier peut s’occuper également de la gestion locative d’un bien dans son intégralité. Il prend en charge la recherche du locataire, s’occupe la rédaction du contrat de location, et s’assure que les conditions de locations et les limites des ressources de l’occupant soient respectées. In fine, il veille au bon versement des loyers.

Un conseiller en gestion de patrimoine indépendant ou CGPI est en premier lieu un conseiller en investissement financier. Du fait de ses attributions, il est aussi un courtier en assurance, un agent immobilier et un intermédiaire en opérations bancaires et services de paiement (IOBSP).

Il maîtrise tous les aspects de la gestion du patrimoine, que ce soit juridique ou fiscal. De plus, son expertise couvre aussi bien les placements financiers qu’immobiliers. C’est une personne en qui un particulier place toute sa confiance pour l’aider à faire fructifier au mieux son argent.

La rémunération d’un conseiller en gestion de patrimoine indépendant peut être des honoraires ou des intérêts en rapport aux investissements. Puisqu’il n’est pas associé à une banque ou à une société d’assurance et de gestion, ce n’est pas un salaire fixe mensuel qu’il reçoit. C’est une rétribution basée sur des honoraires et ses performances dans la vente de produits financiers.

Le rôle premier d’un conseiller en gestion de patrimoine est d’indiquer à ses clients les placements les plus lucratifs suivant le profil de chacun. Pour ce faire, il établit un diagnostic patrimonial de son client, connaît le niveau de risque toléré, définit les objectifs de rendement. À partir de ces données, le conseiller met en place une stratégie patrimoniale qui optimise l’efficacité des placements.

Un CGPI a aussi pour rôle de faire un suivi des investissements qu’il a recommandé pour veiller aux intérêts de son client. Il l’accompagne dans la gestion de son patrimoine. En moyenne, une personne traite avec son conseiller durant environ 15 ans. C’est pour dire qu’il aide et guide à tout moment jusqu’à la liquidation du bien.

Établir une stratégie patrimoniale est un prérequis indispensable à toute stratégie d’investissement.

Un bilan patrimonial initial doit être établi, en tenant compte de vos contraintes, de vos objectifs et de vos attentes en matière de rendement va permettre à notre équipe de définir et mettre en œuvre une stratégie patrimoniale.

Dans le cadre de notre mission, nous élaborons un plan d’action sur-mesure, constitué de solutions adaptées aux situations fiscales les plus diverses (construction, valorisation ou transmission de patrimoine).

La stratégie patrimoniale prend aussi tout son sens dans le cadre d’une expatriation. En cas d’installation à l’étranger, la situation fiscale inhérente aux expatriés revêt des enjeux particuliers qu’il convient de connaître sous peine de s’exposer au principe de la double imposition. L’équipe de Perennity, outre son savoir-faire reconnu en matière de pilotage de patrimoine, est également à même de proposer des solutions d’épargne adaptées aux conditions fiscales du pays d’expatriation.

On distingue trois principaux types d’assurance vie : l’assurance vie en cas de décès, l’assurance vie proprement dite, et l’assurance vie mixte. Trouvez la meilleure assurance vie avec les conseils et le savoir -faire des consultants en assurance de Perennity, cabinet spécialisé en gestion de patrimoine, en fiscalité et en assurances.

 

1.   L’assurance vie en cas de décès

L’assurance vie en cas de décès représente le meilleur choix pour constituer un capital destiné à assurer l’avenir de votre famille et de vos proches en les mettant à l’abri du besoin. Vous pouvez ne désigner aucun bénéficiaire dans votre contrat, dans ce cas, le capital reviendra à vos héritiers légaux. S’il existe un bénéficiaire spécifique, le montant lui sera versé à condition qu’il l’accepte. Si vous êtes marié(e) sous le régime de la communauté des biens, il est essentiel de bien notifier si votre conjoint(e) sera l’unique bénéficiaire ou non.

 

2.   L’assurance vie en cas de vie

L’assurance vie en cas de vie pour sa part, fait partie des méthodes d’épargne les plus utilisées étant donné qu’elle offre la possibilité de former un capital, mais également de le faire fructifier. Dans ce type de contrat, le capital amassé est reversé au souscripteur, en une seule fois ou sous forme de rente suivant un rythme de paiement régulier, dans le cas où il est toujours vivant au moment où le contrat arrive à son terme. Elle peut également être considérée comme la meilleure assurance vie dans le cadre d’une fiscalité à long terme.

 

3.   L’assurance vie mixte

Il s’agit de la meilleure assurance vie si vous souhaitez profiter de votre capital dans un avenir plus ou moins proche et en même temps pouvoir laisser à vos proches une belle petite somme pour assurer le leur si vous deviez décéder prématurément. Vous pourrez en effet récupérer votre capital entièrement en une seule fois ou sous forme de rente si vous restez en vie jusqu’à la fin du contrat. Dans le cas contraire, l’argent épargné sera versé au bénéficiaire que vous avez désigné dans votre contrat, toujours dans les mêmes conditions citées plus haut.

 

Être accompagné pour trouver la meilleure assurance-vie

L’assurance-vie reste le placement préféré des Français. Pour autant, tous les contrats ne se valent pas. L’assurance-vie est un placement beaucoup plus complexe qu’il en a l’air, dont le contrat intègre de nombreuses spécificités. L’aide, le conseil et l’accompagnement d’un Cabinet de Gestion de Patrimoine comme Perennity peut se révéler judicieux.

 

Le niveau des frais, un critère important pour trouver la meilleure assurance-vie

Les épargnants doivent prêter une attention particulière aux frais de prélèvements, car beaucoup de produits sont facturés au prix fort. De fait, pendant les deux premières années, votre épargne est susceptible de ne rien vous rapporter, mais ces frais imputables au distributeur sont négociables a fortiori si les montants versés sont importants. La meilleure assurance-vie doit disposer de frais de prélèvements raisonnable. Concernant les frais de gestion, ils apparaissent à première vue plutôt faibles, mais sur la durée ils peuvent se révéler très élevés. En effet, entre un contrat prélevé à 0,5% et un autre à 1%, au bout de dix ans, la différence se hissera à plus de 5% du capital, à 10% au bout de 20 ans.

La performance du fonds en euros pour votre assurance-vie

Pour rappel, l’épargne placée sur un fonds en euros (majoritairement investi en dettes d’état) est garantie. En clair, vous êtes certains de récupérer votre mise de départ. De plus, les intérêts générés sont acquis définitivement. Mais attention, les performances de ces fonds sont loin d’être égales, selon les établissements. Parmi les moins bonnes prestations, on trouve notamment celles proposées par les banques. Le cabinet en gestion de patrimoine Perennity vous accompagne dans le choix de votre assurance-vie en adéquation avec votre situation patrimoniale.

Assurance-vie et diversité des unités de compte

Si vous envisagez de placer une partie de votre épargne en unités de compte, assurez-vous d’avoir le choix entre les différents fonds sur lesquels investir. Bien souvent, les distributeurs, en particulier les établissements bancaires et les assureurs, détiennent uniquement leur propre société de gestion.

Suite à la perte d’un être cher, on a parfois tendance à noyer sa douleur en dépensant à tort et à travers l’héritage fraîchement perçu. Même si cela ne pouvait être que momentanément, les pertes peuvent être considérables. Pour ce faire, il faut tout de suite songer à investir quelque part. Mais pas n’importe comment. Dans un tel moment, le mieux, c’est de faire appel aux services d’un conseiller en gestion de patrimoine.

Quelques suggestions d’investissement

En principe, il n’y a pas de règles absolues à suivre pour gérer l’argent issu d’un héritage. Tout ce que vous pouvez faire dépend en grande partie de l’importance de la somme perçue. Ensuite vient la décision que vous souhaitez prendre : agir en tant qu’épargnant ou en tant qu’investisseur.

Les épargnes

Si votre héritage est une faible somme, les placements à la fois classiques et pas de risques comme le Livret A ou les parts sociales d’agence bancaire sont les plus préconisés. Par contre, s’il s’agit d’un montant considérable, il faut avoir une perspective plus large pour le placer.

Il existe d’autres produits d’épargne fiables pour placer l’argent d’un héritage comme le PEE ou Plan Épargne Entreprise, le PEL ou Plan Épargne Logement …. Chacun a ses caractéristiques et son taux de rendement plus ou moins important. Pourtant, leur point commun est de permettre des revenus complémentaires après une période d’épargne réglementée.

Les placements en bourse

On vous conseille de placer vos fonds dans la bourse. Pourtant, vu le taux de risque élevé dans ce domaine, il est plus prudent d’investir sous couvert d’un Plan d’ Épargne en Actions (PEA). En plus de limiter les risques, le PEA vous donne le privilège de profiter d’un avantage fiscal. En effet, il bénéficie d’une exonération totale d’impôts sur les dividendes après 8 ans de placement ainsi que sur les plus-values. Cela est très intéressant puisque la bourse est un investissement à moyen et long terme. Avec le PEA, vous pouvez investir en bourse en FCP ou Fonds Commun de Placements avec les conseils avisés d’un spécialiste. L’ investissement dans les Trackers est également une option envisageable.

L’assurance vie

Avec ses taux d’intérêt plus élevés que ceux des livrets classiques, l’assurance vie demeure toujours un placement à la fois sûr et rentable. En déposant plus de 150 000 €, vous profitez d’un taux de 2 à 3 %. N’hésitez pas à avoir recours à un professionnel de l’ accompagnement en choix d’assurance vie.

L’immobilier locatif

Investir dans l’immobilier locatif est une bonne alternative si vous êtes plutôt méfiant en ce qui concerne les placements financiers. Ce type d’investissement est très avantageux, car il permet des revenus assurés grâce à l’encaissement des loyers. Principalement, la valeur du patrimoine immobilier augmente avec le temps, malgré les risques sans cesse de crise immobilière. Dans le cadre du dispositif de Pinel, l’ investissement locatif permet une défiscalisation d’une partie de ses revenus sur une période de 9 à 12 ans.

Avant de se lancer dans un quelconque investissement, il est fortement conseillé de faire appel à un spécialiste de l’investissement financier comme un conseiller en gestion de patrimoine par exemple. Ce professionnel vous conseille sur une allocation d’actifs en tenant compte divers facteurs comme votre situation civile, professionnelle, fiscale … Avant de définir la meilleure stratégie, il réalise des études et analyses minutieuses.

Votre solution : Perennity

Implanté à Paris, Perennity est un cabinet de gestion de patrimoine au service des particuliers. Nous avons actuellement près de 400 clients comprenant des chefs d’entreprise, salariés, retraités, professions libérales et rentiers. Nous proposons également nos compétences en termes de stratégie d’épargne pour des expatriés en Asie, en Europe, en Amérique et au Moyen Orient. En ce qui concerne les transactions immobilières, sachez que notre cabinet est titulaire de carte T nº T12910 auprès de la Préfecture de Paris. Transparence, respect de l’éthique et indépendance sont nos mots d’ordre. Grâce à une équipe composée de professionnels diplômés et pluridisciplinaires, nous saurons répondre à toutes vos demandes, même les plus exigeantes. Nous pouvons même vous aider à préparer un complément de retraite.

Pour aller plus loin

Conseil investissement ETF

Le PER présente plusieurs avantages nettement plus attractifs par rapport au PERP. Tout d’abord, il permet une sortie en capital à la retraite, ce qui n’est pas permis par le PERP, à moins que la sortie en rente soit inférieure à 40 euros. Globalement, une telle possibilité n’est envisageable avec le PERP que pour les petites épargnes de 15.000 à 18.000 euros. Une autre particularité de ce nouveau dispositif est également celle de la possibilité de disposer de son épargne à tout moment. C’est une opération difficile à mettre en place avec un PERP ou un Madelin qui prévoient uniquement la disponibilité de l’épargne à la retraite. De plus, l’épargnant peut demander un déblocage anticipé de son contrat PER s’il souhaite utiliser son argent pour l’achat d’une résidence principale.

Le PER propose également de nouvelles modalités de gestion de l’épargne (prudente, équilibrée, dynamique) qui sont nettement plus sécurisantes pour l’épargnant. Par défaut, il peut choisir la gestion pilotée avec laquelle il a accès aux placements les plus dynamiques pendant la vie du contrat, et aux investissements plus sécurisés à l’approche de la retraite. Néanmoins, il est possible d’opter pour la gestion libre si les modes de gestion proposés ne conviennent pas au détenteur du contrat. Il faut, par contre, rappeler que cette option est plus conseillée aux épargnants les plus avisés sur les différentes stratégies d’investissement.

Enfin, le PER montre une très grande souplesse quant à la fréquence des versements. L’épargnant peut, effectivement, augmenter ou diminuer le montant de ses versements en fonction de l’évolution de ses revenus, ce qui profite surtout aux travailleurs indépendants. Avec un contrat PERP, l’épargnant est souvent obligé de verser régulièrement un montant déterminé à l’avance sur son compte. Par ailleurs, le PER permet de regrouper tous les anciens ou actuels contrats d’épargne sur un contrat unique.

Le PER, ou Plan d’épargne retraite, est un nouveau dispositif d’épargne mis en place depuis 2018. Il est destiné à remplacer la totalité des solutions d’épargne complexes qui existent jusqu’ici, comme le PERP ou le Madelin. Par ailleurs, le fonctionnement de la fiscalité sur un PER n’est pas le même que celui du PERP. Si vous cherchez un conseiller fiscal pour le transfert de votre PERP vers un PER, le cabinet Perennity vous propose les solutions les plus adaptées en matière d’économie d’impôt sur votre épargne, tout en vous apportant les meilleurs conseils sur la gestion de vos placements.

Sur certains aspects, la fiscalité du PER ressemble d’emblée à celle du PERP, à quelques détails près, souvent plus avantageux. En général, les dispositions fiscales appliquées dépendent de chaque contrat, notamment s’il s’agit d’un PER « Titres » ou « Assurances ». Un PER « Titres » se présente sous forme de compte-titres géré par une société de gestion, tandis qu’un PER « Assurance » ressemble davantage à une assurance-vie, gérée par un assureur.

Globalement, le PER et le PERP sont soumis aux mêmes déductions fiscales à l’entrée de contrat. C’est surtout à la sortie qu’ils se différencient. En effet, le PER est soumis à l’impôt sur le revenu (IR) à la sortie du contrat après un abattement fiscal de 10 %. Les prélèvements sociaux sont également déduits à hauteur de 17,2 %, mais après un abattement important de 40 à 70 %. Ces dispositions sont appliquées lorsque le PER prévoit une sortie sous forme de rentes. Le PERP est lui aussi imposé à un IR de 9,1 %, mais cette fois-ci sur la totalité sur la rente totale, sans possibilité d’abattement. En conséquence, l’épargnant paie moins d’impôt à la sortie de contrat sur un PER.

C’est à la sortie en capital que les conseils d’un fiscaliste pour le transfert du PERP sont les plus indispensables. En effet, il peut indiquer à l’épargnant si le transfert lui sera bénéfique compte tenu du montant épargné.

Vous êtes à la recherche d’un conseiller fiscal pour le transfert de votre PERP sur un nouveau PER ? Contactez notre cabinet de conseil en épargne retraite. Notre équipe vous accompagne tout au long de votre projet en vous accordant une écoute toute particulière. Notre façon de travailler respecte scrupuleusement la déontologie d’un CGP professionnel, c’est-à-dire la recherche du meilleur intérêt pour le client dans le total respect de la règlementation.

Vous hésitez entre le Plan d’Épargne Entreprise (PEE) et le Plan d’Épargne pour la Retraite Collectif (PERCO) ? En plus, vous vous perdez dans les acronymes. Solliciter les services d’un conseiller patrimonial est actuellement courant. Perennity se présente comme l’un des professionnels qualifiés dans la mise en place de ces plans et pour l’optimisation fiscale.

Globalement, le PER et le PERP sont soumis aux mêmes déductions fiscales à l’entrée de contrat. C’est surtout à la sortie qu’ils se différencient. En effet, le PER est soumis à l’impôt sur le revenu (IR) à la sortie du contrat après un abattement fiscal de 10 %. Les prélèvements sociaux sont également déduits à hauteur de 17,2 %, mais après un abattement important de 40 à 70 %. Ces dispositions sont appliquées lorsque le PER prévoit une sortie sous forme de rentes. Le PERP est lui aussi imposé à un IR de 9,1 %, mais cette fois-ci sur la totalité sur la rente totale, sans possibilité d’abattement. En conséquence, l’épargnant paie moins d’impôt à la sortie de contrat sur un PER.

C’est à la sortie en capital que les conseils d’un fiscaliste pour le transfert du PERP sont les plus indispensables. En effet, il peut indiquer à l’épargnant si le transfert lui sera bénéfique compte tenu du montant épargné.

Vous êtes à la recherche d’un conseiller fiscal pour le transfert de votre PERP sur un nouveau PER ? Contactez notre cabinet de conseil en épargne retraite. Notre équipe vous accompagne tout au long de votre projet en vous accordant une écoute toute particulière. Notre façon de travailler respecte scrupuleusement la déontologie d’un CGP professionnel, c’est-à-dire la recherche du meilleur intérêt pour le client dans le total respect de la règlementation.

  • Définition

Le PEE est un système collectif d’épargne mis en place par une entreprise, un PEG (Plan d’épargne groupe) ou encore un PEI (Plan d’épargne interentreprises). Il permet aux salariés de se constituer un portefeuille de valeurs mobilières. Cette enveloppe concerne les entreprises avec un effectif de 1 à 250 salariés.
Le PERCO est aussi un système collectif d’épargne, mais il est facultatif. La somme épargnée sera versée uniquement à la retraite. Ce plan ne peut être initié que par les entreprises avec au moins 250 salariés. Il complète le PEE.
Dans les deux cas, un livret d’épargne salariale est délivré au salarié.

  • Pour qui ?

Une fois qu’une société a mis en place le PEE, tous les salariés sont concernés. La seule exigence est l’ancienneté de 3 mois au minimum de l’employé. Dans des situations telles qu’un départ à la retraite, une démission ou un licenciement, la personne peut garder son PEE sous certaines conditions.
De même, le PERCO est destiné à tous les salariés avec une ancienneté d’au moins 3 mois. Étant une option non obligatoire, ce dispositif d’épargne peut être refusé par la personne. Cette dernière dispose alors de 15 jours pour signifier son refus.

 

Comment alimenter le PEE/PERCO ?

Les sommes versées sur le PEE viennent :

  • des versements volontaires des salariés. L’ensemble de cette somme ne doit pas être supérieur à 25 % de leurs revenus annuels ;
  • de la participation et de l’intéressement ;
  • des revenus provenant du placement ;
  • de l’abondement. Il représente 8 % du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS).

La somme est bloquée durant 5 ans. Toutefois, un déblocage peut être anticipé dans certaines situations : mariage, divorce, naissance, adoption, invalidité, etc.
En ce qui concerne le PERCO, il peut être alimenté par les sommes issues de l’intéressement, la participation, le compte épargne temps ou les versements volontaires. Les sommes versées sont indisponibles jusqu’à la retraite du salarié. Cependant, elles peuvent être débloquées sous certaines conditions (en cas de décès ou d’invalidité du salarié ou de son partenaire, de surendettement du salarié par exemple).

  • Consulter les salariés
  • Conclure l’accord avec les délégués syndicaux, le Comité d’entreprise et les 2/3 des salariés
  • En cas d’échec de négociation et d’absence de représentants du personnel, il faut déposer un accord PEE et PERCO à la DIRECCTE. La mise en place unilatérale est une des options possibles pour une entreprise avec moins de 50 salariés.
  • La signature de l’accord conclut la mise en place finale du PEE/PERCO. Elle doit intervenir avant la fin de l’année suivant ainsi la clôture de l’exercice évoquant une Réserve spéciale de participation. Pour les salariés, elle consiste à prendre part financièrement aux résultats de l’entreprise.

Que dit la loi ?

L’article L. 3342-1 du Code du travail stipule que tous les salariés peuvent tirer profit des accords d’intéressement et de participation ou encore des plans d’épargne salariale, même les salariés détachés ou expatriés travaillant à l’étranger.

Ce dispositif d’épargne collectif consiste à verser une somme complémentaire à chaque salarié. Il s’agit d’un outil de rémunération à la fois souple et efficace. Il est calculé à partir de la performance de l’entreprise ou des bénéfices de l’employé. Cependant, le salarié est également libre de verser des sommes supplémentaires selon ses désirs, sans toutefois dépasser les 25 % de son salaire brut annuel. Cette politique d’épargne salariale aide les entreprises à fidéliser leurs salariés et ces derniers à penser sereinement à leur avenir (projet, retraite…)

Les gains en capital générés sont exonérés d’impôt sur le revenu. La somme épargnée est d’abord bloquée pendant une certaine période (5 ans au moins). Il est toutefois possible d’anticiper son déblocage sous certaines conditions (en cas de mariage ou de licenciement par exemple).
Le salarié a également le choix entre :

• Percevoir directement la somme et la rendre imposable

• L’investir dans un PEE et/ou un PERCO

• Percevoir une partie et investir l’autre partie.

Les notions à savoir sur l’épargne salariale

Il existe 3 mécanismes d’épargne salariale :

1) L’intéressement

L’intéressement, ou « prime » en terme plus profane, est une somme attribuée par l’entreprise pour « récompenser » l’employé de ses performances. Sa valeur est laissée à l’appréciation de l’employeur. En principe, le salarié peut demander à percevoir cette somme avec son salaire ou décider de le placer en épargne salariale. Dans ce dernier cas, il nécessite une exonération de 9,1 % correspondant aux prélèvements sociaux. Ce dispositif est plafonné à 75 % du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS).

2) La participation

La participation salariale repose sur les bénéfices annuels de votre entreprise. Grosso modo, il s’agit de les répartir avec vos salariés. Une formule de calcul réglementée est utilisée dans cet accord. Elle tient compte du bénéfice net, des capitaux propres, des salaires, ainsi que de la valeur ajoutée. La participation est surtout obligatoire pour les sociétés comptant au moins une cinquantaine de salariés. Toutes les catégories de salariés doivent bénéficier de ce système d’épargne. Ce dispositif est aussi plafonné à 75 % du PASS.

3) L’abondement

Avec cette enveloppe, le salarié peut verser jusqu’à plus de 1 000 € par an. De ce fait, à terme, l’entreprise a comme obligation de verser jusqu’à 300 % du versement du salarié. Un PASS de 8 % ne doit pas être dépassé avec ce dispositif.

Quel que soit le dispositif choisi, il est toujours possible d’intégrer les plans d’épargne suivants :

  • PEE

Le plan d’épargne entreprise se définit comme un système d’épargne collective. Le PEE, qui est facultatif, reste disponible au bout de 5 ans. Cette épargne de moyen terme permet d’augmenter les revenus. Le but est de constituer un portefeuille de valeurs mobilières. L’argent est donc placé dans les actions de la société, les parts des SICAV (Société d’Investissement à Capital Variable) ou les fonds communs de placement d’entreprise.

  • PERCO

Le plan d’épargne pour la retraite collectif complète le PEE, mais, comme son nom l’indique, il est destiné uniquement à la retraite. Ce type de plan concerne les individus travaillant depuis plus de 3 mois au sein d’une entreprise. Ici, la somme est bloquée jusqu’au départ à la retraite. Puis, au moment de la retraite, le PERCO peut être versé sous forme de rente ou capital.

 

À qui s’adresser ?

Perennity, cabinet conseil financier est un véritable allié pour les entreprises dans l’élaboration de leur politique d’épargne salariale. Nos aptitudes dans la gestion financière, sur les techniques des dispositifs, en droit social et en fiscalité sont nos principaux atouts. Nous vous assistons pour :

• l’identification de vos besoins

• la définition de votre budget

• la sélection des critères objectifs d’attribution

• la rédaction des accords signés avec les salariés

• la gestion financière des plans d’épargne

• l’animation des formations des représentants du personnel sur l’épargne salariale

Acheter des actions non cotées

Tous particuliers désirant faire l’acquisition d’actions non cotées peuvent le faire directement auprès de l’entreprise choisie. Les deux parties s’entendent sur le prix de l’action et l’officialisent soit devant le notaire ou un avocat. Si une plus-value existe lors de l’achat de l’action non cotée, cette première sera soumise aux impôts selon le barème progressif existant. L’achat de ses actions peut se faire en mettant en relation le futur investisseur et les sociétés intéressés par l’intermédiaire d’une levée de fonds comme sur les plateformes d’investissement ou encore à travers les business angels. Il faut se mettre à l’esprit que le placement non coté d’un investisseur potentiel pourrait répondre à une question qu’il pourrait se poser : pourquoi préparer un complément de retraite.

Dans le cas de titres non cotés placés sur un plan d’épargne en actions (PEA), le vendeur aura comme obligation d’aviser sa banque et que le versement de l’argent de cette cession se fera sur le compte qui correspondra à ce titre. Il existe cependant un risque sur l’investissement des actions non cotées, la faillite de l’entreprise entrainera une perte de l’ensemble du capital d’où l’importance de bien choisir la société. Cependant, les plus-values engendrées lors de cette transaction sont illimitées.

Les actions non cotées et le PEA

Comme lePEA n’est pas soumis aux marchés boursiers, tout particulier désirant investir dans une entreprise bénéficie d’avantages fiscaux. L’exonération d’impôt sur les plus-values dans les 5 ans d’existence du compte et en l’absence de retraits durant cette mêmedurée en fait partie. Au-delà, la réduction fiscale des dividendes sera à hauteur de 10% de la valeur d’acquisition de l’action non cotée. Notre cabinet de conseil patrimonial peut suggérer à nos clients qui résident à l’étranger cette stratégie épargne expatriés.

Les nombreux avantages du non coté

En tant que cabinet professionnel dans la gestion de patrimoine, Perennity encourage les particuliers à miser sur les actions non cotées. La souscription dans le capital d’une entreprise non cotée est qualifiée de placement à part entière. Comme stratégie retraite expatriés, cette formule de placement présente des avantages à son souscripteur.

Plus-values potentielles élevées : ce placement a le mérite d’offrir un rendement supérieur par rapport à toutes les autres gammes d’actifs. Connu sous le nom anglo-saxon de Private Equity, le placement non coté sur une longue période offre des rendements très importants évalués à 10% par an de la valeur investie. Le choix des entreprises s’avère judicieux. Une entreprise jeune habilement gérée offre de possibles de croissance importante par rapport aux grands groupes internationaux.

Une évolution non tributaire du marché boursier : d’une manière générale, l’évolution de l’état de santé financière d’une PME est en fonction des paramètres propres à cette entreprise (son équipe de direction, ses personnels, son marché, son innovation…). Les autres facteurs tels que sa situation économique locale ou sectorielle influeront aussi sur sa rapidité de croissance.

un suivi assidu possible : comme l’argent investi est placé dans une PME, vu sa petite structure il est plus facile de voir la croissance de l’entreprise selon son activité en fonction de son environnement économique. Les informations collectées sont directes. Il est parfois possible d’interagir avec le management ou même de donner des conseils.

un investissement socialement responsable : la contribution à la croissance de l’entreprise est palpable en plus de créer une richesse pour le pays.

Perennity se charge de conseiller toutes personnes se souciant de son avenir. Pourquoi préparer un complément de retraite ou encore quel investissement choisir pour compléter vos revenus. Beaucoup de questions peuvent se poser pour les particuliers désirant placer leur argent à court ou à moyen terme. Notre travail est de vous aider à vous retrouver dans vos recherches. Notre conseil en placement non coté vous apporte déjà une première réponse.